INDICATEUR de PERFORMANCE

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Explication de votre score

Vous venez de renseigner un formulaire dans l'objectif d'obtenir un aperçu de la performance actuelle de votre management de la maintenance pour les équipements de restauration. Nous vous rappelons que ce résultat n'est que le reflet de vos réponses à 34 questions et ne peut se substituer à notre diagnostic professionnel complet de plus de 435 questions réalisées sur plusieurs jours au sein même de votre organisation. Néanmoins, vous trouverez ci-après les différents niveaux de performances commentés par tranche de résultats. C'est le moment d'utiliser le score donné en fin du questionnaire en vous rapportant à la tranche qui y correspond ! Mais avant cela nous vous invitons à lire le paragraphe qui suit pour bien comprendre l'imbrication bonne pratique / tranche d'optimisation.

Le management de la maintenance est constitué de 7 fonctions et 33 bonnes pratiques (voir explication de l'engrenage dynamique). Ces dernières sont elles-mêmes réparties en 3 « strates ». L'optimisation consiste à maitriser d'abord les bonnes pratiques fondamentales puis centrales puis enfin avancées. Pour exemple, rien ne sert d'acquérir une GMAO (avancé) si vous ne possédez pas à l'avance un listing d'équipement exhaustif (fondamental) !

C'est pour cette raison que le processus de maitrise de ces bonnes pratiques passe généralement par 5 étapes ou tranches d'optimisation. Votre indicateur sert donc à définir votre tranche actuelle, induit les bonnes pratiques déjà maitrisées partiellement ou en totalité ainsi que les prochaines bonnes pratiques à étudier en priorité. Ces 5 tranches constituent donc un exemple de méthodologie de mise en œuvre dans la démarche d'optimisation de la fonction maintenance en restauration.


TRANCHE N°1 : de 0 à 40

L ' AGE DE LA PRISE DE CONSCIENCE. Bien évidemment que le chemin est encore long pour pouvoir atteindre la perfection dans le management de la maintenance des équipements de la restauration. Mais le plus important c'est "la prise de conscience" sans laquelle aucune amélioration n'est possible. Vous vous trouvez donc là où il est normal de se trouver lorsque l'on découvre l'univers de la maintenance et que l'on souhaite l'optimiser.

La grande majorité des bonnes pratiques ne sont pas présentes ou appliquées correctement et systématiquement alors même que vous pensiez le contraire pour certaines d'entre elles ! C'est ce qu'indique en tout cas le score obtenu.

Les perspectives de gains de productivités et d'économies financières à court terme à ce stade sont très conséquentes et peuvent assez facilement représenter + de 30% de votre bilan actuel. Alors, par où commencer pour débuter l'amélioration et gravir "les tranches" ?

SE FORMER et DÉFINIR ! La première chose à faire est d'apprendre ce qu'est le management de la maintenance en se formant donc pour en comprendre la définition, les enjeux, la composition, la méthodologie d'optimisation, bref savoir quoi faire et dans quel ordre ! puis de commencer à définir ce qui doit l'être, car manager la maintenance c'est par exemple définir la politique à adopter, définir les familles d'équipements concernées, définir un listing exhaustif des données des équipements, définir le type de documentation à collecter, etc. Pour gagner du temps, vous pouvez opter pour la réalisation d'un diagnostic initial complet pour vous aider à définir votre planning d'optimisation.


TRANCHE N°2 : de 41 à 80

L ' AGE DE LA PERSEVERANCE. Vous êtes presque arrivées au terme de la période la plus ingrate du processus d'optimisation du management de la maintenance, celle de la collecte de données, de documents et autres listings d'équipements. De ranger et d'organiser tout cela pour retrouver facilement les bons papiers à la demande ! Mais contrairement à ce que l'on peut penser, c'est bien cette phase qui est la plus délicate, chronophage et qui permettra de donner des résultats qui dépasseront toutes vos attentes. Pour gagner encore du temps (pour limiter la durée d'indisponibilité des matériels) et donc également de l'argent (limiter cette fois-ci les couts directs et indirects liés au non-fonctionnement d'un équipement) il ne peut en être autrement !

La majorité des bonnes pratiques dites "fondamentales" sont connues et demandent maintenant d'être soutenues par des outils facilitant leurs mises en œuvre.

Les perspectives de gains de productivités et d'économies financières à court terme à ce stade restent conséquents et peuvent assez facilement représenter + de 20% de votre bilan actuel. Alors, comment continuer l'amélioration et gravir "les tranches" ?

S'APPUYER SUR DES OUTILS PERTINENTS ! Votre masse de données collectée serait certainement plus facile à manœuvrer avec une Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur (GMAO) qu'il serait peut-être temps d'acquérir en prenant soin de la choisir avec attention et toujours selon votre besoin ! Mais ce n'est pas le seul outil qui vous est nécessaire à ce stade, il vous faut également ne plus subir votre contrat ou marché de maintenance, mais rédiger une nouvelle version qui exprime réellement votre besoin et non cette ancienne version inadaptée et incontrôlable !


TRANCHE N°3 : de 81 à 120

L ' AGE DU PILOTAGE D ' ACTIVITE. La GMAO arrive, le nouveau contrat de maintenance vient d'être validé et ... c'est quand même le bazar ! Pourquoi ? Vos nouveaux outils pour la maintenance sont en place, mais ne nous y trompons pas, cela reste une aide à la décision (GMAO) et un support d'arbitrage (contrat de maintenance) et malheureusement ils restent inutiles s'ils ne s'accompagnent pas d'un pilotage permanent. Ouf l'humain reste primordial et il est temps de l'utiliser ! Il faut organiser et piloter toute cette succession de demande de dépannage, de devis, de bon de travail et de facture ! Et bien sûr arbitrer selon le classement de criticité de chaque équipement !

Les bonnes pratiques fondamentales sont maitrisées et ce sont les bonnes pratiques centrales qu'il convient d'appliquer correctement maintenant.

Les perspectives de gains de productivités et d'économies financières à court terme à ce stade peuvent encore facilement représenter + de 10% de votre bilan actuel. Alors, comment continuer l'amélioration et gravir "les tranches" ?

APPLIQUER LE CONTRÔLE ADMINISTRATIF ET TECHNIQUE ! Tout est en place pour visualiser l'historique et la fréquence des pannes sur chaque équipement et votre contrat prévoit tous les cas de figure pour éviter les écarts de prestations. Mais c'est à votre équipe d'être sensibilisée pour contrôler systématiquement administrativement (est-ce que c'est prévu au contrat ?) et techniquement (est-ce que c'est vraiment cette panne ?) pour que tous vos interlocuteurs et prestataires prennent acte de votre expertise ! Pour cela, recruter et/ou former vos collaborateurs sur certaines bonnes pratiques de gestion et de pilotage peut s'avérer bénéfique comme la méthode pour calculer la criticité par exemple.


TRANCHE N°4 : de 121 à 160

L ' AGE DU PASSIF POUR L'AVENIR. Vous maitrisez parfaitement le management de la maintenance. Vos bases de données et documents techniques sont présents, vos outils tournent à plein régime et votre équipe pilote la fonction maintenance correctement. Mais il vous manque encore des éléments importants pour faire la différence. L'optimisation de la fonction maintenance s'effectue généralement bien après la naissance de vos différents restaurants, il est alors logique de ne pas posséder toute l'antériorité des dépannages et donc des cumuls de cout associés. Or, s'il est important de maintenir les équipements en état de fonctionnement, il est tout aussi important de savoir s'arrêter pour renouveler. Et pour prendre cette décision, tout l'historique d'un matériel doit être connu au risque de continuer à dépanner alors que le seuil de renouvellement est déjà atteint (mais non visible dans la GMAO et donc non identifié).

Les bonnes pratiques fondamentales et centrales sont maitrisées et ce sont les bonnes pratiques avancées qu'il convient d'appliquer correctement maintenant.

Les perspectives de gains de productivités et d'économies financières à court terme à ce stade sont déjà pratiquement au maximum par contre à long terme, le cout global du cycle de vie de votre outil de production et donc de vos investissements peuvent être largement optimisé (+ de 20%) en renouvelant les bons équipements et au bon moment. Alors, comment continuer l'amélioration et gravir "les tranches" ?

CONSOLIDER L'HISTORIQUE et GÉRER le RENOUVELLEMENT ! Même si c'est difficile avec des factures datant de plusieurs années sans référence du bon matériel et souvent archivé à la cave ou au grenier, il est important de saisir tout l'historique de dépannage et d'entretien même antérieur à votre démarche d'optimisation de la maintenance. Car c'est la seule façon d'être alerté par le seuil de cout cumulé des actes d'entretien et ainsi renouveler efficacement et éviter de dépenser pour rien. En faisant cela, vous vous rendrez compte que bon nombre d'équipement d'un restaurant ne fait tout simplement l'objet d'aucun dépannage durant toute leur durée de vie, alors pourquoi en changer ? Par vieillesse ? Pourquoi pas ! mais cela s'appelle renouveler pour rien !


TRANCHE N°5 : de 161 à 200

L ' AGE DE L ' ANTICIPATION. Tout est maitrisé, l'objectif est tout prêt et force est de constater que tout fonctionne bien mieux maintenant que les bonnes pratiques sont présentes, utilisées et fonctionnelles, il ne faudrait pas que cela s'arrête. Mais pourquoi cela devrait-il s'arrêter ? Tous simplement, car un jour, un projet d'un nouveau restaurant viendra se rajouter ou remplacer un existant, et il faut anticiper que ce nouvel outil de production correspond à vos standards en termes de gestion de la maintenance. Cela s'appelle la maintenance en conception. Et c'est la dernière étape pour accéder au sommet !

Les bonnes pratiques fondamentales, centrales et avancées sont globalement maitrisées et il ne reste plus qu'a préparer les conditions de renouvellement ou de projet neuf dans une logique d'amélioration continue.

Les perspectives de gains de productivités et d'économies financières à ce stade à court et long terme) sont déjà au maximum et il s'agit maintenant de se maintenir à ce niveau d'excellence. Alors, comment rester sur cette dernière "tranche" ?

MAINTENIR LE CAP ET ANTICIPER LES PROJETS FUTURS. Il ne faut surtout pas se relâcher et instaurer des audits réguliers de votre fonction maintenance pour distribuer les bons points à vos collaborateurs et continuer sur cette voie d'excellence. Mais il faut tous aussi bien interagir avec les équipes d'assistance à maitrise d'ouvrage si un renouvellement ou un projet neuf se profile pour y intégrer vos besoins pour la future maintenance. Repensez à tous les efforts qu'il a fallu déployer pour remettre à jour les bases de données, collecter les documents techniques ou encore constituer un plan de maintenance préventive qui tient la route ! Vous devez imposer tout cela lors de l'installation des nouveaux équipements pour éviter de perdre du temps pour collationner tous ces éléments ! Et pour rappel, du temps, c'est de l'argent et de la productivité !

Nos services d'accompagnement à l'optimisation de votre maintenance

En définitive, quel que soit votre score, ICARE conseil peut vous accompagner dans l'optimisation de votre maintenance des équipements de restauration. Vous trouverez dans le tableau ci-dessous les différentes prestations que nous proposons rangées pour l'occasion selon les tranches de résultats obtenus pour une meilleure compréhension. Retrouvez toutes nos prestations sur la page MAINTENANCE de ce site. Vous trouverez également sur notre page FORMATION nos prochaines dates pour apprendre à manager la maintenance inter-entreprises, in-situ ou en E-Learning ! N'hésitez pas à vous y inscrire !